Les Olympiades de Frédéric Mallégol
Personne ne peut oublier que 2024 est une année olympique… Que diriez-vous d’une épreuve olympique dirigée par Frédéric.
L’Effet Culture aime agir lorsque la vie a tendance à oublier ceux qui ne partent pas en week end, en vacances.
Cette année le mois de mai est riche en jours fériées.
Nous avons donc pensé qu’il serait agréable de mettre en place nos jeux olympiques, un yoga d’histoire, de géopolitique. Alors partant ? On se retrouve via l’application Zoom le 1ier, 8, 9 et 20 mai
4 séances d’1H30 environ, via l’application zoom Participation : 40 euros – (50 euros pour les non adhérents de l’association)
– 1er mai : les Jeux olympique antiques :
Il y a 3 000 ans, dans le cadre d’un festival religieux se rencontraient les différentes cités grecques, dans des compétitions sportives. Ces jeux avaient pour cadre la cité d’Olympie et se déroulaient tous les quatre ans.
– 8 mai : Les Jeux olympiques modernes :
Depuis 1896, la renaissance des Jeux Olympiques permet à tous les les Etats de la planète de rivaliser dans des joutes sportives parfois…homériques.
Que reste-t-il de l’héritage antique ? Les contingences économiques ou géopolitiques ont-elles dévoyé l’esprit olympique ?
– 9 mai : Olympisme et géopolitique 1896-1940 :
Officiellement, depuis Pierre de Coubertin, fondateur des JO modernes il ne faut pas mélanger sport et politique. Mais lui-même se contredisait en affirmant que les JO pourraient contribuer à la pacification des relations internationales. En réalité, les JO sont une vitrine pour les pays qui les organisent et a un impact réel dans les enjeux internationaux. Les année olympiques de l’apolitisme furent vitre brisés par les deux guerres mondiales et la propagande nazie des JO de Berlin en 1936
– 05 juin : Olympisme et géopolitique : les enjeux actuels:
Après la Seconde guerre mondiale, l’espoir d’un olympisme pacifique et apolitique dut enlevé par le conflit idéologique entre les Etats-Unis et l’URSS. Comme écrivait alors George Orwell: ”Le sport, c’est la guerre, les fusils en moins”. Depuis la fin de la Guerre froide, l’universalisme olympique est brisé par l’appétit nationaliste de pays émergents comme la Chine et la nécessité de prendre en considération les enjeux environnementaux.